Sur le plateau, pour un dialogue interdisciplinaire si possible sans langue de bois, nous avons invité deux représentants de l'Histoire (Hubert Tison, secrétaire général de l'Association des professeurs d'Histoire-Géographie, et Patrice Bride, prof d'histoire et rédacteur en chef des Cahiers pédagogiques, qui a depuis rédigé ce texte sur la question), et deux représentants des maths (Stéphane Jaffard, président de la Société mathématique française et Martin Andler, professeur d'université, président de l'association Animath et auteur d'une tribune sur la question pour LeMonde.fr).
Mais c'est l'appel lancé dans le Journal du dimanche, le week-end dernier, par vingt intellectuels, historiens dans leur grande majorité, qui a mis le feu aux poudres.
Le gouvernement veut-il vraiment "liquider l'Histoire" ? Ses adversaires ne caricaturent-ils pas son projet ? La communauté éducative est-elle aussi unanime que ne le laissent supposer les pétitions et les gros titres ? Comment s'explique cette bruyante émotion, alors que les suppressions d'heures de sciences, elles, passent quasiment inaperçues ?
Sur le plateau, pour un dialogue interdisciplinaire, si possible sans langue de bois, deux représentants de l'Histoire (Hubert Tison, secrétaire général de l'Association des professeurs d'Histoire-Géographie, et Patrice Bride, prof d'histoire et rédacteur en chef des Cahiers pédagogiques, qui a depuis rédigé ce texte sur la question), et deux représentants des maths (Stéphane Jaffard, président de la Société mathématique française et Martin Andler, professeur d'université, président de l'association Animath et auteur d'une tribune sur la question pour LeMonde.fr).
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