dimanche 24 janvier 2010

L’ancienne felouze Djamila Bouhired se soigne à Paris et loge au George-V

Djamila Bouhired, l’ancienne fellagha, poseuse de bombes pour tuer les Français pendant la guerre d’Algérie, se soigne à Paris dans un palace.

thumbnail[1] Djamila Bouhired : elle a tué les nôtres !

L’ancienne fellagha Djamila Bouhired se trouve actuellement dans la capitale française pour y suivre des soins. Elle loge à hôtel George-V, un établissement digne de sa stature et bénéficie d’une voiture pour les besoins de ses déplacements. Selon notre source, Djamila Bouhired a bénéficié d’une prise en charge pour se faire soigner à Paris.

Née dans une famille de classe moyenne, elle est scolarisée à l’école française. Elle rejoint le FLN durant ses années étudiantes. Elle travaillera plus tard comme officier de liaison, membre du « réseau bombes » et assistante personnelle de Yacef Saadi chef de la Zone Autonome d’Alger pendant la bataille d’Alger, elle avait déposé, le 30 septembre 1956, une bombe qui n’explosa pas dans le hall du Maurétania. Elle recruta Djamila Bouazza, qui elle, déposa le 26 janvier suivant une bombe très meurtrière au Coq Hardi.

Djamila Bouhired est une icône, en effet. L’icône de la haine fellouze qui faisait dire au sinistre Ez Zitouna : « Mes frères, ne tuez pas seulement mais mutilez vos adversaires sur la voie publique, crevez-leur les yeux, coupez-leur les bras et pendez-les ! »

En avril 1957, elle est blessée dans une fusillade et capturée par les parachutistes. Elle est soupçonnée d’être une poseuse de bombe, inculpée pour ses actes elle est condamnée à mort. Son exécution est stoppée par une campagne médiatique menée par Jacques Vergès et Georges Arnaud.  Elle est finalement graciée et libérée en 1962.

Après sa libération, elle travaille avec Jacques Vergès – qu’elle épousera en 1965 – sur Révolution africaine, un magazine centré sur les révolutions nationalistes africaines. Elle a eu deux enfants, Meriem et Liess Vergès, de ce mariage.

Aujourd’hui, malade, c’est vers la France dont elle a assassiné des enfants qu’elle se tourne. Presque naturellement. Aucune honte. Aucune vergogne. Et cette ancienne felouze a malgré tout des goûts de luxe puisqu’elle ne loge pas n’importe où. Et pendant que son peuple crève de faim, elle a choisi un palace parisien et non des moindres : le George-V !

Anciens  Combattant  en  Algérie  je  dis :

Merci à  tous  ces  Politiques    Véreux  (euses) .

Son histoire ici

Les autres poseuses 

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5 commentaires:

  1. c est une honte de voir ça et merci a notre cher president de l accepter honte aussi a lui

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  2. Si elle se trouve reellement au George-V, une petite manif devant cette casbah devrait être organisée par tous ceux qui ont eu à souffrir de cette fatma terroriste.
    Honte à la France de l' accueillir.

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  3. vive Bouhired Djamila qui a fait partie de ceux et celles qui vous ont chassés de l'Algérie algérienne.

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  4. Une révolutionnaire n'a que faire de petits révoltés comme vous. Longue vie à vous Djamila.

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  5. Bouhired n'a pas visé des "français", mais des occupants ,des colonisateurs, à 8à% racistes , qui avaient fini par trouver normal leur mépris pour le "bougnoul" , le "raton" , le "melon" qu'était l'autochtone ,fut-il médecin ou fonctionnaire ! C'est contre cet "apartheid" qu'a combattu Bouhired !

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