mardi 26 janvier 2010

Vaccination, les premiers morts

Ce n’est une surprise pour personne, mais tout de même, les premiers morts suite à la vaccination H1N1 commencent à être décomptés.

Si l’on se prend à comparer ce chiffre avec celui des vaccinés, à l’évidence, cela relativise ce résultat.

Le nombre de vaccinés dans le monde a été de 32,4 millions à la date du 11 janvier 2010.

Mais un mort suite à la vaccination est toujours un mort de trop.

Les citoyens ont-ils été suffisamment prévenus ? lien

Lors d’une table ronde qui s’est tenue au Sénat le 6 juin 2007, Le docteur et député Jean Michel Dubernard (qui présidait la séance) a déclaré : « il manque des données scientifiques permettant d’apprécier l’utilité des vaccins ». lien

le docteur Anthony Morris, virologiste déclarait : « il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de la grippe soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien, mais ils continuent de le vendre tout de même ». lien et le docteur James R.Shannon prétendait que « le seul vaccin « sûr » est un vaccin qui n’est jamais utilisé » lien .

le 21 décembre 2009, ils étaient 71 morts suite à la vaccination. lien

le 10 janvier 2010, ils étaient 141 à être passés de vie à trépas suite à la vaccination. lien

Mais il n’y a pas que les morts, il y a aussi ceux qui ont subi des « effets indésirables » : au 10 janvier 2010, EudraVigilance en avait reçu un total de 12 057 rapports. lien

Tous les vaccins n’ont pas la même virulence : il y a eu trois vaccins autorisés par l’EMEA (European Medecine Agency) lien

En termes d’effets indésirables, le moins dangereux est le Cevalpan avec 356 cas signalés, suit Focetria avec 641 cas, et pour finir 8 129 cas signalés suite à la vaccination avec le Pandemrix.

Ces effets indésirables, (qualifiés aussi d’effets secondaires pour lisser le propos) sont de nature différente suivant le type de vaccin : Convulsions, fièvre, urticaire, gonflement des ganglions, œdèmes, troubles gastro-intestinaux…

Dans le corps médical, cela n’est pas contesté, mais on argumente : « entre deux maux, il faut choisir le moindre ».

Comme le disait le professeur Louis Claude Vincent : « personne ne réchappe aux conséquences des vaccinations, à court, moyen ou long terme ». lien

Mais les vaccins sont-ils « le moindre mal » ?

A long terme, les vaccins, en stimulant artificiellement le système immunitaire, ouvrent la porte aux maladies dégénératives, chroniques ou auto-immunes. lien

Le docteur et psychologue Bernard Rimland, directeur et fondateur du « Autism Research Institute » de San Diégo, (USA) affirme : « il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences ». lien

Dans « l’Australian Nurses Journal », en 1977 Glen Dettman indiquait que « certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives comme l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète, et la sclérose en plaque ». lien

Richard Moskowitz, médecin, est convaincu que « les vaccins peuvent, à long terme mener à une déficience du système immunitaire et causer  des maladies considérablement plus graves que la maladie originale, impliquant des structures plus profondes, plus d’organes vitaux et ayant moins la possibilité de se résorber spontanément ». lien

Or plus définitif que les effets indésirables, il a l’effet mortel : dans les cas de vaccins H1N1 ayant provoqué la mort, le classement est à peu près le même, sauf que la vedette est tenue par Pandemrix, suivi de Cevalpan, et enfin Focetria.

Focetria semble donc pour l’instant être le moins dangereux.

Si on le compare le taux européen de mortalité au taux américain, il est de 0,28, soit dix fois plus que le taux américain.

En deuxième position on trouve le Cévalpan, avec 0,42, soit 15 fois le taux américain, et enfin Pamdemrix qui ferme la marche funèbre avec 0,48, soit 17 fois le taux américain.

L’ensemble de ces trois vaccins, avec une moyenne de 0,45 est donc de 15,5 fois le taux américain.

La question qui se pose aujourd’hui est :

Pourquoi les vaccins américains ont-ils été moins dangereux que nos vaccins européens ?

Y a-t-il eu précipitation en Europe ?

Les vaccins étaient-ils insuffisamment testés ?

On peut espérer que la commission européenne lèvera le voile, mais est-ce naïf de le croire ?

Ils sont nombreux les scientifiques qui contestent les vaccins :

Harris L Coulter affirme : « qu’est-ce là pour une « science » qui inflige des dégâts neurologiques à des centaines de milliers d’enfants chaque année ? » lien

Pour ne pas être en reste le docteur jacques Kalmar disait : « prétendre instaurer une barrière immunitaire collective par les vaccinations pratiquées aveuglément dans un contexte conditionné par l’anti-hygiène est absurde ». lien

Encore plus radical le docteur Jean Elmiger affirme : « il n’existe aucun vaccin qui ait fait la preuve scientifique de sa pleine efficacité et encore moins de sa totale innocuité ». lien

Il n’y a plus qu’à espérer qu’au cours des mois à venir la liste des morts à la suite de la vaccination H1N1 ne va pas s’allonger, car comme disait un vieil ami africain :

« Le léopard ne se déplace jamais sans ses taches ».

Source : AGORAVOX, le média du citoyen.

1 commentaire:

  1. C'est pour cela que je ne me suis pas fait vacciné, surtout que je n'ai toujours pas reçut ce foutu bon alors que la grippe H1N1 est en train de devenir une simple grippe ( contre laquelle je suis vacciné par ailleurs )
    Vendu aux Lobbies pharmaceutiques et les Labos, L'OMS montre aussi qu'elle ne sert à rien.

    Michel

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